Les appartements de la princesse Cassandre

Après sa discution avec Alice et David, Cassandre revint a sa chambre. Elle était morte de fatigue et ne revait plus que d'un bon oreiller moelleux et de bons draps bien confortable. Elle entra donc dans sa chambre puis depose certaines choses qu'elle avait sur elle sur la table de sa chambre. Elle ouvrit un tirroir et sursauta. A l'interieur se trouvais une lame finement taillé et éguisé à souhait. Le problème est qu'elle ne se souvenait pas de l'avoir placer la, et encore moin de l'avoir vue.

*Quelqun a forcément du entrer dans ma chambre pendant que j'atais a la bibliothèque.*

Elle chercha donc dans les armoires, les garde robe et tout partour où quelqun aurais pu se cacher. Elle ne trouvas personne ni rien qui pouvais sembler etre un signe d'enfraction. La fatigue se faisait de plus en plus sentir et Cassandre n'avais plus la tête a penser a cette personne qui la regardait. Elle passa donc la lame dans son étuis puis le rangea sous son matela, bien caller pour que si quelqun essaye d'aller la chercher, que sa puisse la réveiller. Elle se glissa ensuite dans sa robe de nuit puis alla se coucher.

Arthuro se promenait dans le jardin du Palais Royal et ce une fois de plus alors qu'il n'y avait pas été invité.

Ce n'était pas la première fois qu'il venait et comme a chaque fois, les gardes le prenait pour un gentilhomme ne se fiant qu'a son accoudrement...

La dernière fois qu'il était venu, il y avait quelque nuit de cela, il avait rencotré deux jeune et fort jolie demoiselle de la cours, deux jeunes princesses. L'un d'entre elle avait bu litéralement ses paroles, en redemandant encore et encore... Elle lui avait même fait un précieux présent, une belle plume d'écrivain... Arthuro gardait celle-ci précieusement sur lui...

Ce soir, la nuit était tombée, sombre et froide, une petite pluie tombait, glacée sur les épaule du jeune homme...
Il se promenait sans vraiment savoir pourquoi, ni où aller.
Puis subitement, il se pris les pied dans une corde. Corde attachée a un seau... Seau se trouvant sur une échelle... Arthuro ne put rien faire qu'il se retrouva les fers en l'air et ce dans un épouvantable vacarme...

[Situation débloquée jeune Dame... Je suis a votre service...]

Cassandre, dormant toujours a poings fermés, n'entendit pas le jeune homme quand il marchait mais les bruits qu'il provoqua par la suite la réveilla en sursaut. Pensant que c'était peut-être quelque chose qu'elle avait redouter longtemps, le rodeur qui la suivait, elle se leva tranquilement et prit l'arme qu'elle avait dans le dessous des edredons de son lit. elle se leva ensuite et se dirigea doucement vers l'endroit qu'elle croyait être la provenance du bruit mais ne gardait pas son arme trop haute. Elle regarda par la fenmetre et vit d'ou venait le bruit. Un homme c'était literalement prit les pieds dans de l'equipement. Le pauvre, Cassandre rangea son arme et descendit ou il se trouvait, metant sa cape brune foncée habituelle sur les epaules. Elle descendit dans les jardins et alla aider le jeune homme a se deprendre unpeu. elle le regarda puis lui souria.

-Eh bien, vous vous êtes litéralement prit les pieds dans les plats jeune homme.

Cassandre avait l'aire de le trouver fort sympathique mais restait tout de meme unpeu sur ses gardes a cause du danger qu'elle penssait courrir.

[Lol merci]

Allongée sur son lit Alice était dans les bras de Morphée. Elle s'était endormie alors qu'elle lisait. Alice,souhaitant comprendre dans quel monde évoluait sa petite soeur Brunauhlt lui avait emprunté son livre préféré. Des contes. Alice les adorait mais, depuis son enfance elle les avait toujours associé à une histoire que l'on lit pour s'endormir. Et malgré son âge c'est l'effet que venait de lui faire le livre. Si son sommeil fut doux en revanche il n'en fut pas de même pour son réveil. De la chambre voisine elle entendit un grand fracas. Et la chambre d'à coté était celle de Cassandre. Cassandre la Douce qui était toujours d'une grande discretion. Soit quelque chose de lourd venait de lui tomber dessus soit...repensant à leur derniére discussion Alice ce précipita hors de sa chambre non sans jeter un rapide coup d'oeil au miroir pour voir si elle était présentable. La surprise était de taille. Arthuro de Monplaisir était par terre, l'air désabusé, à ses côtés Cassandre, qui elle avait l'air légérement amusé mais méfiante tout de même. La situation aurait été franchement hilarente si le jeune homme ne s'était pas fait mal et surtout si il n'y avait pas un seau, une échelle et une corde en vrac. Alice comprenait parfaitement ce que Cassandre avait voulu faire. Elle sourit
- Bonjour Cassandre! Tu as décicé de transformer tes appartements en terrain d'aventure ?

Elle aida Arthuro à se remettre sur ses pieds et fit un clin d'oeil à sa soeur
- Cassandre je te présente Messire Arthuro de Montplaisir. Son métier est de tuer...notre ennui en charmant nos "oreilles princiéres"

Puis elle s'adressa à Arthuro
- Bien le bonjour Messire de Montplaisir. Je vous présente ma soeur Cassandre qui a un euh... sens de l'accueil original et inoubliable.

Elle regarda Cassandre, l'air de dire : Mais enfin qu'est ce qui t'as pris ? Et reporta son attention sur le jeune homme l'air franchement désolé.
-Vous ne vous êtes pas fait mal j'espére ?

[Bon la situation est débloquée, et moi je part en vacances, alors je vais aps vous bloquer... ]

Arthuro se releva aider par une, puis pas deux, puis pas trois jolies jeunes filles... Euh non, tout compte fait juste par deux... La troisième ne l'aida pas et n'était pas jolie...

Arthuro reconnu la vois de la jeune Alice... Elle l'avait écouté pendant plus de temps que tout autre personne ici au château...

Arthuro enfin sur se pieds, fit une belle révérence a Cassandre et a Alice...

"Un jour jeune demoiselle, un jour, si vous le desirer, nous pourrions tuer l'ennuis ensemble..."

L'oeil d'Arthuro était pétillant de promesse, mais aussi de sous entendu... Le jeune homme aimait les jolie fille, et Cassandre en était une... Mais il ne se formalisa pas sur le faite qu'elle était princesse...

"Mais pas ce soir, il bien trop tard, et... Et l'on m'attend..."

Alice se frotta les oreilles. Un cri strident venait de retentir de maniére peu agréable pour ne pas dire agressive. Elle en découvrit bien vite l'origine. Brunheault, rouge de colére venait d'apparaître dans l'encadrement de la porte de Cassandre. Ce qui ennuyait Alice dans tout ça c'est que la petite derniére était en train de passer pour une hystérique aux yeux de tout le monde et plus grave devant quelqu'un qui n'était pas de la famille. Pourquoi se comporter de cette façon ? Elle n'était pas comme ça avant. Et pour couronner le tout Alice n'avait absolument rien compris à ce qu'elle avait dit. Tout ce qu'elle savait c'est que ça ne ressemblait pas à un bonjour. Elle répondit trés calmement et en déttachant bien ses mots.
-Bonjour Bruneaulht nous sommes nous aussi ravies de te voir.

Puis Arthuro s'éclipsa non sans jeter à Cassandre un regard qui en disait long sur la façon dont il souhaiterait tuer l'ennui avec elle. Alice était franchement amusée. Au moins il ne se cachait pas. Cassandre était en effet jolie et le faire remarquer prouvait que Arthuro avait bon goût. Elle sourit et fit un clin d'oeil à sa soeur. D'ailleurs celui ci était bien vite parti, les deux jeunes femmes avaient à peine eu le temps de leur faire un signe de la main
- Eh bien Casandre il semblerait que ton charme fasse des ravages. Et pour le peu que je connais, je crois que tu ne t'ennuierais pas avec lui

Devant l'air un peu déphasé de Cassandre Alice rit un peu plus et l'embrassa sur la joue. Le comportement d'Alice pouvait paraître léger mais elle connaissait Cassandre et savait que celle ci avait la tête sur les épaules. Et puis si c'était vraiment l'amour qui frappait à sa porte il fallait qu'elle lui ouvre. Maintenant Alice était bien placée pour le savoir. Elle se dirigea vers Bruneauht et l'embrassa aussi
- Tu as bien fait de venir. Ce n'est pas si souvent que nous sommes ensemble.

Dire qu'Alice s'attendait à cette réaction de la part de Brunehaut eut été exagéré. Pourtant, Alice savait sa soeur imprévisble. Elle eut à peine le temps de dire
- Bruneauht...

que la petite derniére avait déjà filé. Alice était inquiéte. C'était évident, leur petite soeur refusait toute forme d'affection. Et lorsqu'on lui en donnait, elle la fuyait. Et son âge ne pouvait pas en être la seule cause. Pourtant à travers ses contes, elle cherchait quelque chose. A se rassurer ? A fuire le monde réel ? A trouver une stabilité ? Elle regarda Cassandre qui semblait aussi désabusée qu'elle et dit quelques mots à une servante. Elle s'assit prés de sa soeur.
- Je ne suis pas sure que les comérages soient la cause de son état. Bruneauht est trop intelligente pour y prêter autant d'attention. Je crois...

Elle hésitait à prononcer la suite. Elle avait peur de blesser Cassandre. Pourtant à un moment ou à un autre, il faudrait en parler. Peut être qu'ainsi la douleur serait moins difficile à porter.
- Que la disparition de Pére l'a profondément marquée

Elle ajouta
- Et moi aussi d'ailleurs

Elle refoula une larme qui menaçait de s'échapper. Puis Cassandre demanda si il y avait quelque chose à faire
- Je crois que la seule chose à faire est de lui montrer que nous l'aimons sans pour autant céder à ses caprices. Et pour l'instant mieux vaut la laisser seule.

Normalement c'était Sybille qui s'occupait de ce genre de problémes. Mais encore une fois, elle n'était pas là. C'était souvent, c'était tout le temps. A tel point qu'Alice s'habituait à son absence. C'était triste mais c'était ainsi.

Alice revenait de l'écurie. Elle y avait été espérant trouver Cassandre, mais elle n'y était pas. A croire qu'elle avait disparue. Alice était inquiéte. Qu'avaient ils tous en ce moment ? En fait la question n'avait pas vraiment lieu d'être. Depuis toujours, il était écrit ce qui allait arriver. Et la négligence de chacun en était la principale responsable. Une famille trop nombreuse...Pourtant Alice aimait chacun de ses fréres et soeurs. Dans une famille ordinaire les choses se seraient mieux passées. Mais là ils étaient la famille royale et n'avaient pas droit à l'erreur. Comment l'entente pouvait elle perdurer alors qu'ils n'arrivaient jamais à être au même endroit au même moment ? Depuis qu'Emerald les avait quitté, la situation empirait et elle allait bientôt exploser. Sybille ne jouait plus son rôle de trait d'union, L'Homme à la Couronne était aussi efficace qu'une valise sans poignets et Olrick ...mais où était il ? Le cercle des aînés qui était sensé prendre tout en charge s'éffaçait il lui aussi ?
Ce n'est tout de même pas comme si ils se détestaient tous...s'aimaient ils trop justement ? Quoiqu'il en soit le résultat était là. Et Alice se promit une chose. Si elle avait des enfants, jamais elle n'en aurait autant. Tant que les parents étaient là pour solidifier les relations tout allait bien mais ensuite...et les parents partaient avant, c'était dans l'ordre des choses. Pour l'heure Alice s'inquiétait de Cassandre. Elle passa la tête à travers la porte et appela :

- Cassandre ? Tu es là ?